Je suis Samuel. Di Umberto Campisi

Le 5 Octobre le professeur d’histoire et de géographie décapité en France par un extrémiste
islamique de 18 ans pour avoir montré en classe les caricatures de Charlie Hebdo sur Mahomet tout en expliquant aux étudiants ce qu’ est la liberté d’expression, l’un des piliers de la République, publiées dans le journal Charlie Hebdo.
Le 6 octobre, le père de l’un des élèves de Paty a protesté auprès du directeur du lycée et a partagé une vidéo sur les réseaux sociaux contre l’enseignant. Quelques jours avant l’attaque, l’homme aurait échangé des messages WhatsApp avec le tueur, qui a été identifié comme Abdoulakah Anzorov, un Tchétchène d’origine russe qui vivait en France avec sa famille et a été tué par les forces de l’ordre après l’agression.
Le meurtre de Paty a rouvert les blessures d’une France touchée des dizaines de fois ces dernières années par les attentats islamiques : il y a eu plusieurs manifestations en hommage au professeur et le président français Emmanuel Macron s’est rendu à Bobigny, dans la banlieue de Seine-Saint- Denis présider le comité de lutte contre l’islam radical. Nous allons faire la «guerre» aux «ennemis de la République», a-t-il dit.
Enfin, trois personnes sont soupçonnées d’avoir aidé le terroriste. Le premier, Azim E., 19 ans, est soupçonné d’avoir accompagné le tueur la veille à Rouen pour l’achat d’un couteau. Cette arme sera retrouvée à proximité du lieu du crime. Le second, 18 ans, a accompagné Anzorov dans la coutellerie, puis véhiculé le terroriste, dans deux magasins d’Osny, où il a acheté deux pistolets AirSoft. Ils ont été mis en examen pour “complicité d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste”, en ce qui concerne Naïm B. et Azim E., et pour “association de malfaiteurs terroriste”, pour Youssouf C.

Umberto Campisi, III C