Je suis Samuel. Testo di Massimo Cazzaniga

Samuel Paty, enseignant d’histoire-géo au collège Conflans Saint-Honorine à Paris, a été tué le 16 octobre à cause d’un droit fondamental reconnu à tout le monde: la liberté d’expression. Il avait tenu une leçon à propos de ce sujet-là en montrant à ses élèves des caricatures sur Mahomet de « Charlie Hebdo », et cela a causé de graves réactions entre les gens qui se sont sentis touchés.
Mais est-ce qu’on peut parler de liberté d’expression ? Est-ce qu’elle existe? Naturellement, c’est un concept difficile à définir, mais, en réalité, on est libre quand on a le droit de s’exprimer, donc de dire ce que l’on pense toujours. Mais c’est aussi un lieu où on se sent libre d’exprimer soi-même et de montrer ce qui nous sommes.
Par suite de cet homicide, les places de principales villes françaises se sont remplies d’enseignants qui avaient comme but protester et surtout demander justice pour leur collègue Samuel. De nombreux enseignants, en effet, ont revendiqué leur droit d’enseignement et, donc, de liberté d’expression.
En vue de la leçon sur la liberté d’expression, Samuel avait donné à ses étudiants du matériel, entre lequel il y avait des caricatures du célèbre journal français «Charlie-Hebdo », qui, selon la tradition musulmane, étaient offensives. Alors, les parents de deux élèves de cette classe-là ont contacté la principale du collège, en disant que leur fille avait été chassé de la classe, quand, en réalité, le professeur leur avait dit que s’ils voulaient, ils pouvaient sortir de la classe, s’ils se sentaient susceptibles sur l’argument de la leçon.
Quelques jours après, le père d’un autre élève est intervenu sur les réseaux sociaux en dénonçant un climat d’« islamophobie », alors que des hommes de religion musulmane se sont organisés pour le tuer.
Bref, je crois que situations comme celles-là sont très importantes à nous faire comprendre l’importance du droit universel de la liberté d’expression et, surtout, que l’on doit l’appliquer même dans notre quotidien.

Massimo Cazzaniga, III C