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La source de la violence contre le femmes n’est pas le désir, mais le pouvoir

Si on parle de violence fondée sur le genre, on ne parle pas seulement de l’acte extrême du féminicide ou de la violence sexuelle. Toutes les formes de limitation de la liberté d’un individu sont formes de violence.

Un garçon qui ne permette pas à sa petite amie de sortir sauf s’elle n’est pas habillée comme il veut: ça c’est une forme de violence.

Discriminer une femme à cause des ses vêtemets, et la juger en se basant seulement sur ceux-ci: ça c’est une forme de violence.

La peur que beaucoup de femmes ont, de se promener elles-mêmes sur les routes des villes, s’il est soir, parce qu’elles pourraient être les malheurs à recevoir des comments pour rien requis par des hommes: ça c’est une forme de violence.

Ces individues croient d’avoir le droit de limiter la liberté d’un femme de se sentir en sicurité, pour le seule fait d’être hommes et c’est justement ça le problème: la source de la violence contre le femmes n’est pas le désir, mais le pouvoir. Tous les actes de violence naissent par le vouloir des hommes de rétablir qui commande, qui contrôle, qui décide.

Cependant l’acte de violence se manifeste à travers un seul homme contre une seule femme, le problème c’est de la collectivité. Le problème c’est la mentalité fortement machiste, qui naisse d’un système patriarcal qui perdure depuis millénaires, qui a porté, pas seulement beaucoup d’homme à se sentir supérieur, mais aussi beaucoup de femmes à croire que ce normale que le système fonctionne de cette manière.

Moi, comme fille, jeune femme, je ne peut pas tolérer que dans une monde aussi tant évoloué, qui a fait un pas de geant sous tous les aspects, le regles élementaires de la coexistence ne sont pas respectés. Je ne peux pas tolérer d’avoir peur de me promener le soir, sur les routes de ma ville.

C’est pour ces raisons qu’on doit nous rendre compte du système de pouvoir qui perdure depuis millénaires, et on doit être sincère avec nous-mêmes et s’engager à ne considérer non plus la violence une normalité, et à reconnaître toutes les formes dans lesquelles elle se manifeste.

Costanza Bonaccorsi