#jesuissamuel. Testo di Alessandra Grasso

Samuel Paty était professeur d’Histoire et de Géographie, mais aussi d’Éducation civique et
morale, qui a été décapité le 16 octobre 2020, dans une commune proche de Paris.
Samuel avait fait des leçons sur la liberté d’expression. Il avait parlé de l’attentat contre Charlie Hebdo en faisant voire des caricatures du journal satirique français. Cependant il ne voulait blesser ou troubler personne, donc il a dit que ceux qui se sentaient mal à l’aise pouvaient ne pas participer à la leçon et donc sortir de la classe.
Si on peut penser que le professeur voulait seulement argumenter avec ses élèves sur des sujets actuels et importants comme la liberté de presse ou d’expression, Brahim China, le père d’une élève de l’école, ne le pensait pas. En fait dans les jours précédents Brahim a été promoteur d’une campagne de haine contre le professeur. Après ces campagnes, le réfugié tchétchène de 18 ans Abdullakh Anzorov a décidé, avec le père Brahim, de se présenter un vendredi après-midi devant le collège du professeur Samuel. Abdullakh n’a pas su le repérer tout de suite, alors il a offert environ 350 euros à quelques jeunes pour qu’ils le lui indiquent par des vidéos et deux élèves du collège ont accepté. De cette façon le terroriste islamique a pu localiser Samuel Paty et il l’a décapité. L’assassin a été maintenant arrêté avec autres 11 personnes.
Après l’assassinat, centaines de personnes se sont rassemblées hors de la Sorbonne à Paris pour suivre la cérémonie solennelle en l’honneur de Samuel Paty. ll a été créée aussi un slogan, c’est-à- dire #jesuissamuel. Les partecipants des manifestations ont essayé de revendiquer la liberté d’expression.