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La liberté d’expression: la cause de la mort d’un innocent

Le 16 octobre Samuel Paty un enseignant d’histoire-géo au collège Bois d’Aulne, dans le Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines, un département de l’Ile de France), a été décapité après avoir montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, publiées par le journal Charlie Hebdo.
Le 5 octobre, pour une leçon d’éducation civique, il avait pensé de montrer ces images pour les intégrer à son cours. Il enseignait dans une classe d’élèves musulmans et, pour cela, il a permis de sortir de la classe à ceux qui étaient trop sensibles et pouvaient se perturber à la vision de ces vignettes. Donc il n’a obligé personne à les regarder. Quand la journée scolaire est finie, une élève, en particulier, après être rentrée chez elle, raconte sa leçon avec Paty à ses parents. Son père, indigné pour le fait, rend publique, en discréditant l’enseignant, ce qui s’est passé dans la classe de sa fille. La nouvelle se répand fortement et dans les jours suivants pétitions, lettres de dénonciations, coups de fil anonymes, arrivent contre l’enseignant. Ce dernier malgré tous ses efforts, n’arrivera jamais à faire comprendre à ses ennemies que ces caricatures n’avait rien d’une prise de position personnelle, mais étaient pour un but éducatif. Les menaces continuent, tant que, le 16 octobre, Samuel Paty vient assassiné par un terroriste d’à peine 18 ans, appelé Abdullakh Anzorov, qui lui coupera la tête
dans le même collège où il a montré les caricatures. Le terroriste ne savait pas qui était le professeur, ainsi il a offert 350 euros à des garçons pour lui indiquer l’enseignant, en disant qu’il voulait seulement « le filmer pour l’obliger à s’excuser pour avoir montré ces images ». Deux jeunes, de 15 et 14 ans, ont accepté. Alors l’assassin l’a pu identifier et le fait est arrivé. Une scène effrayante qui a beaucoup touché pas seulement la France mais le monde entier. Évidement la liberté d’expression n’est pas ncore entièrement acceptée par tous.

Valentina Strazzuso, III C