Nous sommes tous égaux

Depuis cinquante ans est célébrée le 25 novembre la journée en faveur de les droits et contre les violences aux femmes.Ces violences aujourd’hui ne se sont arreté pas, il y a encore l’avocate Fatimata M’Baya, a été victime dans le passé de ces horribles faits, elle annonce que dans son pays comme les autres, les filles n’ont pas la liberté de choisir comme leur futur ira; déjà de 12 ans les filles se marient. Malgré la pandémie de ce temps, les violences domestiques ont augmenté, mais pourquoi?
On pense que la maison est un lieu sûr, un lieu où on vit avec des gens qui s’ aiment , malheureusement une bonne partie des événements se déroule ici. C’est normal que les femmes craignent aussi de leur propre habitation? Et encore un cas d’une fille de 18ans qui a été droguée pour être violée plus tard par un homme riche durant une fête, aussi dans ce cas, malgré dans des vidéos où l’homme se fiche que la fille meure au lit, complètement droguée et inconsciente, il est sorti propre. Mais je me demande comme est possible que cet homme et autres aujourd’hui ne respectent pas la figure de la femme. La supériorité qui s’est formée est terrible, comme seulement un peu d’argent peut changer les évènements qui ont eu lieu. Nous habitons dans un pays où la parole de la femme n’a pas encore importance, il y a la differentation entre homme et femme, pour cette raiçon les violences ont lieu. Il y a aussi la peur de parler car cela pourrait endommager la situation et l’aggraver.

Testo e foto di

Chiara De Geronimo, III C