Samuel Paty, un professeur d’histoire-géographie Parisien qui enseignait au collège Le Bois d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), a été décapité près de cet établissement le vendredi 16 octobre 2020, aux alentours de 17 heures.
Selon ses élèves, Monsieur Paty était un enseignant bienveillant, très investi et qui était très tolérant, mais sa leçon qu’il fait à sa classe du quatrième le 5 octobre lui a malheureusement coûté la vie. Pendant la leçon, lui décide de parler de la question des limites de la liberté d’expression et de montrer deux caricatures de Mahomet. Ce deux caricatures sont publiées dans CHARLIE HEBDO. La premiere en reference a l’attentar de janvier 2015 et la duxieme montré par contre le prophete avec une etoile sur son derriere, cet “immage” est accompagné de la phrase “une etoile est née”. Après cette leçon, les parents d’élèves musulmans dénoncent en ligne un “climate islamophobe dans l’école”.
Environ une semine après le course, le 16 octobre 2020, Abdoullakh Abouyedovich Anzorov, un réfugié musulman russe de 18 ans, non élève de Samuel Paty, l’a décapité dans la rue. Cet incident malheureux a été décrit par le president français Emmanuel Macron comme une “attaque terroriste islamique typique”. Face a cette situation, les Français ont décidé de protester en faveur du professeur. Ils sont descendus dans la rue pour protester avec des slogans comme “je suis Samuel” ou “je suis Prof”. Toute cette situation conduit à des émotions très forte et beacoup prient pour le pauvre Samuel Paty.
La liberté d’expression est le droit de chacun, si elle est faite dans le respect des autres. Il est évident que ces caricatures peuvent offenser mais Samuel Paty a été tué pour voulou enseigner à ses élèves la liberté d’expression, un droit dont il était privé et qui a malheureusement conduit à sa mort.
Luna Villalba, V E
