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“Liberté, égalité, fraternité!”: mais quelqu’un omets le “liberté”.

L’enseignant d’histoire-géographie de collège “Samuel Paty” a été décapité à la sortie de sa journée de cours: sa seule faute a été celle de montrer deux caricatures de Mahomet (prises du journal satirique “Charlie Hebdo”) aux élèves pendant un cours sur la liberté d’expression.
Cela nous rappelle encore une fois, après l’attentat de janvier 2015, de l’importance de la liberté d’expression, qui apparemment est souvent oubliée lorsqu’on parle de religion, malgré cela soit un droit déclaré dans la “déclaration des droits de l’homme et du citoyen”.
Le triste évenement se serait passé suite à des plaintes de certains parents à propos du sujet traité en cours. Les parents d’élèves auraient publié des vidéos sur les résaux sociaux en demandant le renvoi du professeur; leur publications auraient attiré l’attention d’un jeune homme de 18 ans qui bénéficiait du statut de réfugié, musulman, et qui n’aurait pas du tout aimé cette nouvelle. Après ça, l’assaillant aurait contacté ces personnes par messages et par appels, en indiquant son intention de venger le prophète et de régler le problème. Enfin le terroriste aurait contacté aussi deux élèves de 14 et 15 ans afin de l’aider à individuer le prof: il les aurait payé environ 300 euros. Il aurait finalement attendu l’einsegnant après les leçons pour le tuer en criant “Allah Akbar”: ce détail confirme l’évenement tragique comme acte de terrorisme.
Ce n’est pas un cas le fait que dernièrement on assiste de plus en plus souvent à des vraies “autocensures” faites par les einseignants lorsqu’ils se trouvent devant le thème de la religion musulmane: ils craignent d’être poursuivis par des extrémistes qui ne tolèrent pas la liberté d’expression au sujet de leur religion.
Tout cela fait revivre les moments où cette liberté a été niée, comme dans le cas de l’attentat aux journalistes de “Charlie Hebdo” qui a tué douze personnes: l’hymne de ces jours était “Je suis Charlie” maintenant un nouvel hymne est né: “Je suis Samuel”.

Margherita Amata, III C