SOMMES NOUS PLOUS INFORMÉS GRÂCE AUX ÉCRANS?

Aujourd’hui, grâce au progrès technologique, nous pouvons nous vanter d’avoir progressé  beaucoup dans la vitesse de la propagation des informations. Ça a apporté beaucoup de  changements dans notre société; mais parmi ceux-ci pas tous, contrairement à ce qu’on pourrait  penser, sont bons. Donc sommes nous vraiment plus informés grâce aux nouvelles technologies  d’information? Nous répondrons à cette question dans un premier temps en analysant les  aspects positifs, comme la vitesse de l’échange d’informations et la conscience majeure que ça a  apporté à la société; et plus tard en montrant des aspects négatifs, par exemple en montrant les  “fake news” et la répétitivité des nouvelles. 

Tout d’abord nous sommes sûrs de l’efficacité de la propagation d’informations avec les outils  dont on dispose aujourd’hui, et cela grâce à la vitesse avec laquelle les actualités sont diffusées.  En moins de 5 minutes de l’évènement d’une chose très importante au niveau globale, déjà des  millions de personnes sur les presque 4 milliards d’humains disposant d’un réseau connaissent la  nouvelle. Un exemple éclatant du développement de la vitesse du passage des informations est  celle de la mort de Napoléon Bonaparte à laquelle le poète italien Alessandro Manzoni dédia une  ode intitulée “Le Cinq mai”, jour de la mort du général exilé en 1821. Le fait intéressant est que  Manzoni finit cette composition trois jours après avoir su la nouvelle par l’édition du 16 juillet 1821  du journal milanais “La Gazzetta di Milano”. C’est étonnant donc comme on est passé de la  connaissance la mort d’un des hommes plus importants de l’époque avec trois mois de retard, à  savoir des anecdotes sans importance instantanément. 

Enfin, nous pouvons dire que le développement de l’échange des nouvelles a apporté beaucoup  d’améliorations dans la société, vu l’énorme quantité d’informations sur les réseaux sociaux ainsi  que dans les journaux. En fait, ça a poussé un très grand nombre de personnes à prendre parti  pour une bonne cause, en l’élèvant jusqu’à un très haut niveau d’importance. C’est le cas des  manifestations liées au mouvement du Black Lives Matter, qui après les évènements de mai 2020  concernant des abus en devise contre une minorité, a gagné un consensus défendu globalement.  Naturellement il y a bien plus de cas aussi, comme la cause des membres de la LGBT+, les  élections très probablement falsifiées du président réélu bielorus Loukachenko, le cas des  rohingyas au Myanmar et beaucoup d’autres scandales. Donc on peut dire que les écrans nous  rendent bien plus conscients de certaines réalités. 

Maintenant qu’on a vu les les aspects positifs du passage d’informations à travers des appareils  électroniques et comme ils nous rendent mieux informés, on peut passer à l’énonciation des  côtés plus controversés, qui mettent en discussion la complète efficacité de cette révolution des  médias de masse. 

Tout d’abord dans le grand nombre d’informations échangées chaque jour c’est naturel qu’on en  trouve certaines qui ne sont pas très bien exprimées et du coup mal comprises; certaines arrivent  à être même fausses et ce sont celles qu’on appelle “fake news”. Ces nouvelles fausses sont  données par le fait que certains journaux veulent plus de visibilité et donc pour arriver à faire le  “scoop” ils sont prêt à raconter des bêtises. Ça arrive plus souvent dans des journaux plus petits  dans la plupart des cas online, qui sont toujours à la recherche de succès. En étant plus petits  donc leurs journalistes gagnent moins en étant pas de vrais employés, en fait ils gagnent jusqu’à  7 fois moins que les journalistes employés. Ça veut dire qu’ils ne sont même pas si qualifiés et  c’est une autre cause de la diffusion de fake news. Cet aspect négatif est très grave car c’est un  phénomène de plus en plus présent et c’est une forte négation à la question “sommes nous plus  informés grâce aux écrans?”. 

Enfin, un autre aspect négatif est constitué par le fait que dans certaines périodes il y a des vrais  monopoles des sujets traités par les journaux. En fait quand dans une période de temps il y a un  argument dont tout le monde parle, les journaux cherchent à traiter plus souvent cette information  là. Ça crée de la répétitivité et du coup la qualité des informations baisse. Un exemple a été la  Covid-19; en fait au début de cette période beaucoup de journaux au cours d’un jour ne  publiaient que des nouvelles sur le nouveau virus qui se propageait dans le monde. En fait, ce  sujet a été un des plus grands monopoles argumentatifs des dernières décennies, même si  ensuite ça a commencé à prendre part à nos vies. La courante unique des nouvelles provoque  une ultérieure négation de l’amélioration de notre information après la révolution des moyens de  communication. 

Conclusion 

Maintenant qu’on a assez analysé aspects négatifs et aspects positifs de la révolution de  l’échange d’informations et donc la vitesse d’échange et la conscience que ça donne à la société,  mais aussi la répétitivité et la sûreté des nouvelles, on

 peut arriver à une conclusion et donc à la réponse à notre question initiale. La réponse à la  question “sommes nous plus informés grâce aux écrans?”, est sûrement oui, mais naturellement il  faut considérer même les aspects négatifs analysés avant. Donc on espère dans un futur où le  journalisme progresse en ne laissant pas derrière les petits journalistes peu rémunérés, et en plus  que les articles qu’on va lire soient plus de qualité.

Nadir Massimino, III C